Daniel Rohrbasser
Après avoir obtenu son diplôme à l’école suisse de sculpture de Brienz, il crée son atelier de photosculptures en 1996. Il a réalisé la vignette des timbres-poste suisses en 2009. Actuellement il vit à Courtaman (Fribourg).
Il y a dix ans, Al Gore disait qu’il fallait maintenant saisir l’opportunité que recèle la crise climatique pour donner libre cours à la création, l’inspiration et l’innovation qui font autant partie de notre patrimoine que la faiblesse, la cupidité et la mesquinerie. Cette phrase devint pour l’artiste le moteur de son inspiration et l’Arctique s’est imposé de plus en plus dans sa vie pour devenir son école de dessin à ciel ouvert.
C’est de là-haut, tout près du Pôle Nord que viennent son inspiration et son élan pour continuer à créer toutes les esquisses qui sont à la base de ses travaux photosculptures et de ses dessins présentés lors de cette exposition. La fragilité de la Vie en Arctique imprègne l’exposition tout entière. Entre les lignes, on peut lire les signaux d’urgence et de détresse même si en aucune situation l’exposition ne saute à la gorge du spectateur. Aucune leçon, juste une profonde passion pour ces Terres de pierres et de glaces et pour l’ours polaire, le plus grand prédateur sur Terre, peut-être le plus dangereux carnivore.
Il y a dix ans, Al Gore disait qu’il fallait maintenant saisir l’opportunité que recèle la crise climatique pour donner libre cours à la création, l’inspiration et l’innovation qui font autant partie de notre patrimoine que la faiblesse, la cupidité et la mesquinerie. Cette phrase devint pour l’artiste le moteur de son inspiration et l’Arctique s’est imposé de plus en plus dans sa vie pour devenir son école de dessin à ciel ouvert.
C’est de là-haut, tout près du Pôle Nord que viennent son inspiration et son élan pour continuer à créer toutes les esquisses qui sont à la base de ses travaux photosculptures et de ses dessins présentés lors de cette exposition. La fragilité de la Vie en Arctique imprègne l’exposition tout entière. Entre les lignes, on peut lire les signaux d’urgence et de détresse même si en aucune situation l’exposition ne saute à la gorge du spectateur. Aucune leçon, juste une profonde passion pour ces Terres de pierres et de glaces et pour l’ours polaire, le plus grand prédateur sur Terre, peut-être le plus dangereux carnivore.