Edmond Quinche
est né à Zurich en 1942, l’artiste grandit dans le Fricktal(Argovie). Il a 9 ans, quand ses parents déménagent dans le Nord vaudois. « Adolescent, je savais que je deviendrai peintre, il n’y avait pas d’autre issue. » confie Edmond. Son père ne voyait pas du meilleur œil le fait que son fils ait décidé d’embrasser la carrière de peintre. Sans s’y opposer ouvertement, il ne comprenait pas. Un jour, il aperçut le jeune dessinateur assis à la lisière d’un champ ; il fut émerveillé par la patience immobile du guetteur et l’intensité de son regard. Dès lors, le père ne posa plus de questions. L’intensité du regard est aussi celui qu’il porte sur tous les gens qu’il côtoie. « Entièrement tourné vers les autres, il est comme un épi d’or, une éclaircie parmi les artistes que je fréquente, si souvent blessés et angoissés, trop orgueilleusement repliés sur leur propre importance », note Florian Rodari dans le livre qu’il lui a consacré.
Après avoir suivi l’école des Beaux-Arts de Lausanne, l’artiste crée en 1968, avec Pietro Sarto, l’Atelier de gravure et lithogravure qui deviendra l’Atelier de Saint-Prex. Son travail de lithographe lui a beaucoup apporté sur l’expression artistique et sur le travail collectif. Il a énormément travaillé pour les autres artistes.
« Les œuvres d’Edmond Quinche ne se donnent pas d’emblée au premier regard ; il faut s’attarder, explorer, fouiller chaque dessin en sa surface et en ses profondeurs ; il s’en dégage un caractère fascinant. » Pour cet artiste, une chose est certaine, il ne fait que ce qu’il voit, il lui est impossible d’inventer quelque chose. Il est totalement inféodé au visible.
Après avoir suivi l’école des Beaux-Arts de Lausanne, l’artiste crée en 1968, avec Pietro Sarto, l’Atelier de gravure et lithogravure qui deviendra l’Atelier de Saint-Prex. Son travail de lithographe lui a beaucoup apporté sur l’expression artistique et sur le travail collectif. Il a énormément travaillé pour les autres artistes.
« Les œuvres d’Edmond Quinche ne se donnent pas d’emblée au premier regard ; il faut s’attarder, explorer, fouiller chaque dessin en sa surface et en ses profondeurs ; il s’en dégage un caractère fascinant. » Pour cet artiste, une chose est certaine, il ne fait que ce qu’il voit, il lui est impossible d’inventer quelque chose. Il est totalement inféodé au visible.